« Vraiment énormément, j'ai toujours voulu repousser toutes les frontières, celles du Temps, de l'Espace, et des dimensions. Mais pas que, lorsque j'avais 15 ans, en l'an 1920, en France, je me suis vu offert un cadeau »→ offrir
Ici les propositions s’enchaînent sans effet de rythme, tu ne prends pas le temps de poser ce que tu écris, donc le lecteur n’a pas le temps de respirer. Je remplacerais la virgule par un point après « énormément », et après « mais pas que ».
« Il est normalement impossible de passer d'un monde à l'autre, mais certains y arrivent, une sorte de gouvernements a donc été créé, le Grand Conseil, il se compose d'un Roi, d'un Conseil, et d'anges, les anges étant les agents qui travaillent pour le Grand Conseil. »
→ gouvernement / créée
Idem ici, la ponctuation crée un enchaînement trop rapide. Utiliser des signes autres que les virgules permet de moduler le rythme, ce qui rend le texte plus agréable à lire, plus clair, moins précipité. Du reste, l’emploi du participe (« étant ») alourdit la phrase en introduisant la répétition du mot « ange » qui n’est en soi pas nécessaire.
« Il est normalement impossible de passer d'un monde à l'autre, mais certains y arrivent. Une sorte de gouvernement a donc été créée : le Grand Conseil. Il se compose d'un Roi, d'un Conseil, et d'anges, des agents qui travaillent pour le Grand Conseil. » « Le jour où j'ai reçu cette pièce j'ai reçu le pouvoir de voyager mais aussi la lourde tâche d'empêcher les autres de le faire. »
Idem ici, je placerais quelques virgules pour poser le texte.
« Le jour où j'ai reçu cette pièce, j'ai reçu le pouvoir de voyager, mais aussi la lourde tâche d'empêcher les autres de le faire »
« Mais il y a bien longtemps que j'ai arrêté, j'ai commencé à de plus en plus utiliser le pouvoir de ma pièce pour moi même, je me suis acheté un vaisseau, un Tardis, »
→ moi-même
→ "TARDIS" est un acronyme, on le met donc en majuscule.
→ La tournure « de plus en plus » alourdit vraiment la phrase. Je ne la trouve pas vraiment nécessaire, puisque le verbe « commencer » induit déjà l’idée de gradation. Ou alors il faut enlever « commencé » pour éviter la redondance : « J’utilisais de plus en plus le pouvoir de la pièce ».
« J'ai rencontré beaucoup de gens au cour de mes voyages, j'ai longtemps voyagé avec un certain Jimmy James, qui est parti, il a fait carrière solo comme on dit. Depuis je voyagé seul, avec au poignet une intelligence artificielle du nom de Lyla, elle m'a été offerte par un voyageur du Temps du nom de Miguel O'Hara. »
→ au cours
→ je voyage
Outre la répétition, je ne comprends pas l’intérêt de préciser tous ces noms, puisqu’ils ne sont jamais évoqués par la suite.
« Dans une grotte, derrière la distance là où personne ne peut aller : »
Derrière la distance ?
« Arrêtes ! Je t'en supplie arrêtes ! »
→ Arrête (pas de –s à l’impératif)
« Si vous allé en Enfer ce ne sera pas un bar remplie d'alcool entre Lucifer et Hitler, en Enfer vous ne croiserez ni monstre ni humains. »
→ allez / rempli
→ soit « ni monstre ni humain » soit « ni monstres ni humains », mais un singulier avec un pluriel ça ne passe pas.
« Un endroit créé de toute pièces spécialement pour vous. »
→ pièce
« As-tu pensé à moi ce jour là ?! »
→ jour-là
« je suis en face de quelqu'un a qui j'ai fait beaucoup de mal, moi même d'une certaine façon. »
→ à / moi-même
« Mais le pire n'est pas qu'il est entrain de me tuer, c'est que, au contraire. Il maîtrise parfaitement ce qu'il est entrain de faire. »
→ en train
« Aller voyageur... Racontes moi une histoire... »
→ allez / Raconte-moi
« C'est l'histoire d'un jeune garçon, plus vieux qu'il n'a l'air mais les années n'ont pas d’impact sur lui. Il enchaîne les aventures mais son visage ne prends pas une ride »
→ qu’il en a l’air / prend
« Dis moi Teddy, pourquoi vas-tu faire ça ?
- Pour t'épargner. Je ne veux pas que tu le vois.
- Que je vois qui ?
- Moi. L'autre moi.
- L'autre toi ?
- Sors s'il te plaît, je devais faire ça seul. »
→ Dis-moi / voies / je dois
« Ne t'en fais pas Teddy. En prenant le jeune garçon dans ses bras. Un jour tout ira mieux, je te le promet. »
→ il manque un verbe de parole pour introduire l’incise – au passage on ne met pas de majuscule aux propositions incises au dialogue : « Ne t'en fais pas Teddy, dit-il en prenant le jeune garçon dans ses bras. ».
→ promets
« - Parce qu'il faut que tu apprennes par toi même. »
→ toi-même
« - Alors aides moi ! N'es-tu pas là pour ça ?
- Nous sommes là pour nous aider l'un l'autre, c'est le but des amis. Mais tu dois te frayer ton propre chemin. Un jour tu m'aurais oublier, tu aurais tellement d'autres amis que je ne serai plus qu'un vieux souvenir. Ce jour là tu iras mieux, tu seras sorti de cette période où tu as honte de ton nom, comme moi. »
→ aide-moi
→ tu m’auras oublié / tu auras / Ce jour-là
« Pendant longtemps Théodore avait honte de qui il était, il se faisait appeler Chrómílios. Teddy, le petit, quant à lui n'avait pas honte de qui il était, pas encore. Mais cette honte a finis par venir, en partie à cause de ce qu'il s'apprêtait à faire. »
→ fini
« S'il te plaît... Aide moi... »
→ Aide-moi
« - Parce que je ne peux pas te le dire, je ne veux pas que tu le vois... »
→ voies
« - Aides moi... »
→ Aide-moi
« Parfois, dans des moments de doutes, il devenait terriblement mauvais, violent, méchant. »
→ doute
« Il passait sans cesse d'un extrême à l'autre, et il en avait marre. Il aurait tout donner pour ne devenir qu'une seule de ces deux facettes, »
→ il en avait assez (avec "marre" le langage familier contraste avec le niveau de langue général du texte, qui est plutôt courant).
→ donné
« Là il l'a fait, il a sortis le démon qui était en lui. »
→ sorti
« Plus de part sombre, mais il avait du rester des jours dans cette grottes, des semaines, des mois peut-être. »
→ dû / grotte
« L'Autre le regardait, le coté mauvais en face du coté bon, l'Autre, comme Teddy, était confus. »
→ côté
« Teddy l'a donc enfermé dans une pierre de la grotte et est partit en oublié à jamais, du moins il l'espérait, cette part sombre. »
→ parti / en oubliant
« Dans la même grotte, bien après : »
Ce type d’indication n’a pas sa place dans les textes narratifs comme le roman ou la nouvelle, il relève plutôt du scénario.
« Alors voyageur ? Qu'en as-tu compris ? En tirant ma tête de la flaque. »
→ là encore, il manque le verbe de parole
« - Je ne réalisait pas à l'époque...
- Qu'est-ce que tu ne réalisait pas ? Que j'existais aussi ! »
→ réalisais
« Je suis ton égale, et pourtant tu m'as enfermé dans une pierre... »
→ égal
« Mais mets toi à ma place, nous sommes les même ! La même cellule qui s'est séparée et si tu avais étais à ma place et moi à la tienne tout aurait était exactement comme aujourd'hui puisque nous sommes le même, aidé ou handicapé dès le début pour finalement en faire deux. »
→ mets-toi / avais été / aurait été
« il est à coté de mon Tardis, mes affaires sont par terre. »
→ à côté
« A mon tour de te raconter une histoire. Dit-il. C'est l'histoire d'une personne, enfermée à tort qui réussi a s'échapper. [...] Il jette un sors au condamné, il le lie à un objet, une dague. [...] Dans mon histoire, le vrai coupable a alors ordonner au condamné d'aller quelque part, loin de tout, où il ne pourra rien faire de mal. Mais le condamné a trouver une faille dans le système, [...] il s'est faufiler chez le vrai coupable et a volé la dague. Il l'a utilisé pour appeler le condamné et lui a ensuite offert l'objet de ses tourments. Le condamné a donc eu tout les pouvoirs ce jour là »
→ , dit-il (pas de majuscules aux incises)
→ réussit à s’échapper
→ un sort
→ a ordonné / a trouvé / s’est faufilé
→ l’a utilisée
→ tous
→ ce jour-là
« - Tu oublies la partie ou ton “ami” s'est non seulement “faufilé” chez moi mais m'a aussi frapper jusqu'à ce que je perde connaissance. Et un autre moment que tu as omis, celui où tu nous as tous amené ici, moi, toi, lui et mes affaires avant de tuer celui qui t'avais aidé en lui plantant la dague dans le ventre.
- Dois-je te rappeler que je suis mauvais ? Je ne suis qu'un concentré de mal, grâce a qui rappelle moi ? »
→ où / frappé / amenés / t’avait
→ grâce à / rappelle-moi
« - Alors prends le. »
→ prends-le
« - Patience, je viens de te dire que je voulais d'abord tuer tout ceux que tu aimes. Malheureusement... Il se met à genoux, très prêt de moi. Tu n'as personne, tu es seul. »
→ tous / près
Quand l’incise recoupe avec la narration, il vaut mieux la mettre entre parenthèses, pour éviter de la confondre avec la réplique
« Une jeune femme apparaît, moyennement grande, la peau très clair, les cheveux roux et long. »
→ claire / longs
« Amuse toi bien voyageur. »
→ Amuse-toi
« Ce jour là j'ai décidé de ne pas m'attacher à Lyla »
→ ce jour-là
« Je l'ai alors recueilli, et le jour où l'Autre est venu récupéré son du j'ai du improviser à mon tour. »
→ recueillie / récupérer / son dû / j’ai dû
« Lâches là ! »
→ lâche-la
« Mais c'est moi qui avait créé la dague et le sort qui allait avec »
→ avais
« Laisses la en vie... »
→ laisse-la
« et tu sais qu'ils sont plus puissant que toi. Prends mon corps, vas-y, fais toi plaisir, mais laisse la en vie. »
→ puissants / fais-toi / laisse-la
« Une chance pour moi, car l'idée de mourir ne m'ait pas non plus très réjouissante, l'Autre a accepté. »
→ m’est
J’ai eu du mal avec l’ordre de la phrase. En principe la proposition principale vient en premier, c’est plus clair : « L’Autre a accepté. Une chance pour moi, car l'idée de mourir ne m’est pas non plus très réjouissante. »
« L'Autre est donc parti, depuis ce jour nous sommes lié l'un à l'autre, mais il a le pouvoir de partir là où il peut »
→ liés
Je mettrais un point après « parti ».
« Elle m'a sautée dans les bras »
→ sauté
«Comme je l'ai dis »
→ dit
« une fois qu'on travail pour eux on ne revient pas sur sa décision »
→ travaille