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MessageSujet: Jean Pierre Petit vous conseille   Jean Pierre Petit vous conseille EmptyMar 16 Aoû - 19:06

La fabrication du livre

L'auteur vient de remettre sa copie à l'éditeur. Que se passe-t-il alors ? On éliminera les dernières fautes d'orthographe. Si le livre comporte une iconographie, les documents transmis ou confiés seront traités en conséquence. Le livre sera composé. Mais s'il s'agit d'un ouvrage qui ne comporte que du texte, lequelle est fourni sur une simple disquette, le travail de l'éditeur s'en trouvera grandement facilité. Au terme de ces opérations, l'ouvrage atterrit chez un imprimeur, petit ou grand, qui tire les exemplaires demandés. Laissons tomber les problèmes liés à une impression couleur. Le livre sera imprimé en offset, en noir et blanc. Traditionnellement, l'éditeur se réserve le choix du titre, la composition de la couverture (y compris la choix de l'illustration qui y figurerait) ainsi que le contenu de ce qu'on appelle la "quatrième de couverture". L'éditeur fixe également le prix de vente du livre, choix qui peut être lourd de conséquences. Sur ce plan, certains éditeurs mènent parfois des politiques totalement anti-commerciales (exemple : des bandes dessinée en noir et blanc proposées à la vente à 90 F pièce). Ce que les auteurs ignorent, ce sont les coûts de fabrication des livres, étonnamment bas. Le coût unitaire diminue au fur et à mesure que le tirage augmente. Il existe des frais incompressibles : la transformation des pages d'un livre en autant de clichés offset. Sur ce plan le coût est le même que l'on imprime 100 ou 100.000 exemplaires. Pour des tirages trops faibles ceci fait grimper le coût unitaire des livres. Les éditeurs, surtout les grands éditeurs, ont des tarifs préférentiels chez les imprimeurs. Pour fixer les idées, disons qu'un ouvrage de 200 pages, ne comportant que du texte, imprimé sur un papier de qualité moyenne, en noir et blanc, avec couverture brochée, porteuse d'une illustration couleur coûtera à fabriquer moins de 10 F alors que son prix de vente sera en général dix fois plus élevé. Si la page de couverture est en bichromie (deux passes au lieu de quatre) ou monochrome (une seule), le prix pourra tomber à six ou sept francs. Les "grands imprimeurs" travaillent dans de véritables usines où entrent des tonnes de papier chaque jour et où les livres imprimés sortent, à l'autre bout, regroupés en "palettes" recouvertes de plastique, prètes à être ambarquées dans des camions. Les "presses Cameron" sont entièrement automatisées, robotisées. le seul geste manuel de l'imprimeur consiste pratiquement à afficher sur un clavier le nombre d'exemplaires souhaités.

Mise en place

Le petit éditeur travaillera artisanalement, envoyant les livres par petits paquets à ses différents libraires. L'hébergement des ouvrages dans la librairie pourra correspondre à des formules totalement différentes. La pire des formules est le "dépôt-vente". C'est le lot de l'auteur qui édite à ses frais. La librairie voudra bien héberger son ou ses ouvrages, contre un reçu si possible, et lui adressera ce qu'il lui revient, si tout se passe bien. Mais bien souvent ces quelques livres ou cet unique livre se perdront dans un dédale de ses rayonnages et dans le fouillis de sa comptabilité. ..
Les éditeurs peuvent avoir des représentants, soit faisant partie de leur maison, soit, pour des éditions plus modestes, travaillant au coup par coup, dont le travail consiste à "vendre" les ouvrages récemment sortis aux libraires ("bon, alors je vous en mets tant,?"). Il existe également des réseaux de distribution qui envoient des catalogues assortis de bons de commande et qui assurent les approvisionnements. Dans de vastes hangars des milliers de livres attendent, sur des palettes, leurs clients, comme des bouteilles de Badoit. Les libraires font ainsi eux-mêmes leurs emplettes, et passent à la caisse avec leur chariot, pour un paiement comptant ou avec traite.

Comment convaincre un éditeur de vous publier?

On serait tenté de penser qu'il suffit d'adresser à une maison d'éditions des photocopies de manuscrits, qui sont censés être examinés par des "lecteurs". Le résultat risque de s'avérer décevant, même si on procède à dix ou vingt envois. La plupart des livres qui sont publiés proviennent de contacts directs entre personnes. Il est bon "d'avoir un ami qui connaît quelqu'un dans la maison d'édition Machin". Les éditeurs aiment bien aussi dire à des gens qui occupent telle ou telle position "et si vous m'écriviez un livre?".

La vie du livre

Tirage minimal : quinze cent exemplaires. Un éditeur "bien implanté" procèdera à une mise en place dans quelques centaines de librairies. Le livre a alors quelques mois devant lui pour réussir à s'imposer.
Premier scénario : mévente complète. Les libraires, s'ils le peuvent, retournent les livres à l'éditeur (qui n'apprécie guère). Ce livre-là sera alors rapidement "pilonné", les exemplaires restants détruits, à moins que l'auteur, à qui cette proposition sera faite, accepte de racheter les exemplaires invendus.
second scénario: Si l'auteur est un personnage connu, potentiellement médiatique, l'éditeur pourra mettre sur ce "coup" une attachée de presse, qui donnera force coups de téléphone pour essayer de placer son poulain dans des émissions de radio ou de télévision, susciter des interviews pour la presse écrite, etc. Alors la "mayonnaise" peut monter.
Il n'est pas rare que des grandes maisons d'éditions, simplement parce que la personne qui suit l'ouvrage est en vacances à ce moment là, passent complètement à côté d'une forte demande des lecteurs pour un livre donné. J'ai vu deux auteurs publier un livre dans un maison d'édition très connue. Après une prestation médiatique réussie les vingt cinq mille exemplaires partirent en peu de mois. Puis l'ouvrage devint simplement introuvable, les libraires s'arrachant les cheveux sans parvenir à établir un contact téléphonique avec la personne qui était censée gérer cette affaire. En gros les chances d'un livre se jouent dans les trois mois qui suivent sa sortie. Passé ce temps, les libraires, si une demande ne s'est pas manifestée chez leurs clients, oublient l'ouvrage. Le bouche à oreille complète les ventes, tant bien que mal. Son efficacité reste limitée. Ill subsiste alors un stock plus ou moins important. Les éditeurs sont assez longs à conclure à la "mort" d'un livre. En effet, tout moribond peut rescuciter à tout moment. Beaucoup conservent ainsi des stocks inférieurs à 1500 exemplaires de centaines d'ouvrages. C'est une façon de maintenir leurs droits sur ces produits. En effet, lorsque les derniers exemplaires d'un livre son détruits, l'éditeur perd ses droits sur celui-ci.

Edition à compte d'auteur

..Pourquoi, sera tenté de se dire un auteur, ne suis-je pas moi-même mon propre éditeur? Editer un livre n'est effectivement pas bien sorcier. Il suffit de fournir à un imprimeur des planches correctement imprimées, dont il fera des clichés offset. Les devis démarrent à la dizaine de milliers de francs. Le coût unitaire des ouvrage baisse au fur et à mesure que le tirage croît. Mais, une fois qu'ils ont été imprimés, ces livres, comment les vendre? Tout le problème est là. Un auteur peut chercher à passer par un "diffuseur", qui lui prendra au passage une commision. Mais la chose n'est pas simple. Disons que ce type d'édition peut présenter un intérêt si l'auteur est assuré de vendre quelques dizaines d'ouvrages à l'issue de conférences. Mais, faites le calcul. Pour vendre deux mille exemplaires, à raisons de vingt ouvrages placés lors que chaque conférence, il faut donner .... cent conférences.
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MessageSujet: Re: Jean Pierre Petit vous conseille   Jean Pierre Petit vous conseille EmptyMar 16 Aoû - 19:08

Contrat et droit d'auteur

Le taux des droits versés à l'auteur dépend du type d'ouvrage (et aussi des frais engagés par l'éditeur pour la conception et la fabrication). Prenons le cas d'un ouvrage-type, proposé par un auteur débutant, qui ne pose pas de probblème technique particulier (du texte seul). Taux de droit-type : 8% sur le prix de vente. Il sera difficile à un auteur débutant d'obtenir plus, si ce n'est chez un "petit éditeur", prêt à lui proposer des conditions meilleures que celles des "grands", mais qui ne fera guère de chiffre, du fait de ses capacités limitées de diffusion. Ceci étant, tout les coups sont bons pour qu'un éditeur réduise ce taux, dans un contrat qu'il présentera alors comme "le contrat-type". Il pourra aussi, vieille ficelle, inscrire " 10 % sur le prix de cession de base". Si l'auteur est inattentif celui-ci ne comprendra pas que ses droits seront alors calculés sur la base du "prix-libraire", inférieurs de trente ou quarante pour cent au prix de vente, ce qui ramènerait ce taux alléchant à six ou sept pour cent.
...Même un auteur débutant pourra chercher à obtenir un taux croissant en fonction des ventes. Mais l'éditeur traînera des pieds et ces concessions (10 % du prix de vente à partir de ... tant d'exemplaires vendus, 12 % à partir de ....) seront difficiles à arracher.
...Il n'y a guère de limite inférieure dans ces affaires de taux de droits. J'ai une amie qui a édité un livre superbe, consacré à la cuisine, chez un éditeur. Non seulement elle a pris en charge toute l'iconographie et la couverture (c'est une femme qui a beaucoup de goût), mais elle a dû accepter sans discuter le "contrat-type" de cet éditeur-là, qui stipulait qu'elle ne toucherait pas un centime sur les mille premiers exemplaires vendus (ventes qui permettaient largement à cet éditeur d'atteindre un bon niveau de rentabilité) et que ses droits pour les exemplaires suivants se monteraient à ... cinq pour cent !. J'ai reçu il y a peu de temps des proposition d'un éditeur qui m'offrait royalement quatre pour cent de droits sur le prix hors taxe, tout en réclamant les droits pour tous supports, tous pays, etc.
..Il existe des livres qui réclament une abondante illsutration, pour différentes raisons. Il peut s'agir de contes pour enfants, où l'éditeur devra rétribuer un illustrateur, ou d'un livre technique, illustré à l'aide de photographie, que l'éditeur devra acheter en agence. Tout ceci réduira d'autant le taux de droits consenti à l'auteur du texte, qui pourra dans ces conditions tomber à 4 ou 5 % du prix de vente. En gros, on peut dire que dans le cas d'un ouvrage illustré l'auteur (ou le scénariste) et l'illustrateur reçoivent des rétributions comparables, s'ils sont payés au pourcentage.
...Certains éditeurs proposeront un forfait. Pourquoi pas ? Tout dépend du montant et de ce que l'auteur est prêt à consentir. Mais, rappelez-vous : les contrats son très difficilement réversibles.

Les contrats font en général état d'une avance consentie par l'éditeur. Classiquement, cette somme sera versée au moment de la remise du manuscrit. Les droits d'auteur sont évidemment payés après l'année d'exercice (même si l'ouvrage est publié au mois d'octobre). L'avance versée par l'éditeur revient à verser à l'auteur une rétribution immédiate pour le travail qu'il aura fourni. Cette avance, non récupérable, mais qui sera déduite des droits que l'auteur percevra, constitue pour l'auteur une garantie en cas de mévente complète. Le montant des avances consenties est très variable. Souvent cette avance correspond au montant des droits correspondant aux ventes minimales que l'éditeur peut escompter pour le livre en question. Pour le livre type d'un auteur débutant on peut la chiffrer entre cinq et dix mille francs. Bien sûr, un auteur à succès pourra exiger, ou se verra proposer des sommes beaucoup plus importantes, si les espérances de ventes se situent d'emblée en dizaines de milliers d'exemplaires.

Remise du manuscrit

..Dans tous les contrats les éditeurs font figurer une clause qui se réfère à la remise du manuscrit. Il est rare que les éditeurs passent contrat avant que l'auteur n'ait achevé son travail et que ceux-ci n'aient une vision d'ensemble de l'ouvrage. En revanche il est très fréquent que des remaniements soient demandés ou exigés. Le contrat ayant été signé, l'éditeur fait figurer une date limite de remise du manuscrit, en général par rapport à la date de signature du contrat ("Le manuscrit sera remis à l'éditeur par l'auteur sous une forme lisible au plus tard trois mois après signature du présent contrat") et l'éditeur ajoute que "si des corrections s'avéraient nécessaires, l'auteur assurerait les frais qui résulteraient de ce travail, en déduction de ses droits".
Engagement de publication
..Ne figure pas toujours dans les contrats proposés. Si on exige que l'auteur ait achevé son travail à une date donnée il est fréquent que le contrat reste muet sur la date de parution de l'ouvrage. Une absence dangereuse. Quand un auteur signe un contrat, il se trouve lié par celui-ci. Si l'éditeur tardait alors à imprimer l'ouvrage, l'auteur devrait alors se lancer dans un coûteux procès pour récupérer le droit d'exploiter son oeuvre, par exemple avec l'aide d'un autre éditeur. Le plus simple est de demander que figure une clause selon laquelle: "l'éditeur s'engage à publier l'ouvrage au plus tard (six mois ou un an) après remise du manuscrit. Si passé ce délai l'ouvrage n'était pas publié, l'auteur recouvrerait ses droits ainsi que celui de conserver l'avance qu'il a perçue". On ne saurait contraindre un éditeur à publier dans un délai de deux ou trois mois, étant donné le travail de mise en forme et de "fabrication" de l'ouvrage. Le délai avant publication sera évidemment à rallonger si l'éditeur doit assurer lui-même l'illustration de l'ouvrage.

Exemplaire d'auteur

...Un contrat normal doit mentionner qu'après impression des exemplaires un certain nombre d'exemplaires seront adressés gratuitement à l'auteur. Celui-ci n'est en principe pas autorisé à les vendre lui-mêmes. Certains éditeurs expédient les exemplaires avec un coup de tampon, sur la page de garde, mentionnant que cette vente directe n'est pas autorisée. Ce sont des exemplaires que l'auteur est censé adresser aux membres de sa famille, ou à des amis. Le nombre mentionné permet de mesurer la générosité de l'éditeu et tourne en moyenne autour de vingt à cinquante exemplaires. Quand le contrat mentionne que deux ou cinq exemplaires seulement seront adressés à l'auteur, ça n'est pas très élégant, ni très bon signe.
...Le cas échéant, si l'ouvrage est susceptible de rester à la vente pendant plusieurs années, le contrat pourrait mentionner par exemple que "dix exemplaires seront adressés à l'auteur chaque année" ou que "dix exemplaires de l'ouvrage seront adressés à l'auteur à chaque retirage". Cela évitera à l'auteur à succès d'avoir à mendier ces exemplaires auprès des services de la maison d'édition. L'absence de mention d'exemplaires d'auteur, sur un contrat, est un assez mauvais signe.

Devoirs de l'éditeur

Quoi qu'il en soit l'éditeur a le devoir de commercialiser le produit dont il s'est par contrat assuré les droits. Au chapitre "paiement des droits" il sera bon de faire stipuler que l'éditeur devra communiquer à l'auteur, outre un chèque représentant le montant de ceux-ci, le détail des ventes de l'année (titre part titre, s'il a plusieurs ouvrages chez lui). Quand on reçoit un tel document, on a parfois la surprise d'y voir mentionné des sommes importantes correspondant à des "provisions" constituées pour des motifs variés. Certains éditeurs, sur ce plan, se comportent comme de véritables hamsters.

Conclusion.

...Dans ces quelques lignes j'ai essayé d'avertir le candidat-auteur des écueils qu'il pourrait rencontrer sur son chemin ainsi de quelques mesures lui permettant de les éviter ou de les contourner.
...Si l'aventure vous semble décourageante, ce que je comprendrai fort bien, il vous restera à vous lancer dans "l'édition électronique" en inscrivant vos écrits sur des cd (prix de revient actuel : cinq francs, capacité : 5000 pages de BD au trait,ou trente livres de 200 pages).
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