Essaie sans suite, pour l'instant, pas d'inspiration

Ton texte, enfin plutôt ta description, est pas mal. Tu décris assez bien cette fille.
Le petit truc qui me gêne est quand tu dis "une dentition a faire verdir un dentiste". La première fois que j'ai lu la phrase je croyais qu'elle n'avait pas une bonne dentition. En la relisant plusieurs fois et avec ton indication d'après, c'était l'inverse.
Sinon, je ne vois pas très bien où ton texte nous emmène.
Mais continues, qu'on puisse voir le but de l'histoire.
Bon courage.

Moi aussi j'aimais bien ton texte

Ta façon de décrire était bien je trouve et le style d'écriture j'acrochais bien

Mais je ne retrouve pas ton texte...
Où il est? Tu l'as suprimé?

:???: (<= Rose qui comprend rien, faut qu'elle aille faire dodo, il est tard! xD)

il me semble qu'il est dans la rubrique "romans"...

Moi aussi j'aimais bien. j'aimerais bien connaître la suite...

Oups, désolé, après une fausse manip, mon roman à été détrui =P
Je le remet *va le chercher*

Et ok, je change la phrase du dentiste.


Je me regardais dans le miroir qui occupait une grande partie de la luxueuse salle de bain. Un visage boudeur encadré de belles boucles d’ors me faisait face. Deux yeux d’un turquoise parfait assortis avec ma robe me regardaient, soulignés légèrement par une touche d’un mascara qui à lui seul suffirait à faire vivre une famille pendant plusieurs jours, ce qui ne m’avait cependant pas gêné pour le jeter après sa première utilisation. Je me souris, découvrant une dentition régulière et agréable. Mon nez, fin et légèrement en trompette, frémit lorsque j’attrapai mon minuscule sac Gucci pour en extraire un gloss hors de prix. Je m’appliquais ensuite à en tartiner mes lèvres vermeilles. Je chaussai ensuite mes pieds de fines ballerines d’un turquoise éclatant. Je m’observai une dernière fois dans la glace, m’attardant légèrement sur mes jambes encore trop mince, signe de mes anciennes crises d’anorexie. J’étais parfaite, splendide, sublime, rayonnante. Comme d’habitude. J’étais toujours parfaite.

Je sortis de la salle d’eau, descendis lentement les escaliers, croisant au passage mon cher frère, Christophe, qui me lança un regard ironique, articulant silencieusement le mot « salope ». Je haussai un sourcil parfait et mon regard glissa lentement vers mes cuisses, où ma robe bien trop courte finissait sa course. Je mimai l’offensée et lui jetai un regard lourd. Christ me tourna le dos et gravit rapidement les escaliers. Je le suivis des yeux, agacée, puis me détournais pour ne pas arriver en retard.



Le paysage de New-York défilait devant mes yeux. Je me délectais déjà de la tête de Claire, ma meilleure amie, une française aux cheveux bruns, et dont la frange retombait sur ses yeux verts en amandes, lorsqu’elle verrait ma nouvelle robe. Claire était la fille parfaite. Enfin, du point de vu de ses parents. Elle avait une jolie frimousse, de bonnes notes en classe et une politesse sans égale. C’était la végétarienne soumise, la petite aristo tranquille qui se souciait de l’environnement et qui adorait les petits chats trainant sur les trottoirs.

Ma bouche de tordit de dégout en pensant au nombre ahurissant de maladies que pouvait transporter ces bêtes. Malgré tout, Claire restait une précieuse amie, certes sans gouts, mais une fille pleine de vie et qui aimait faire la fête. Elle me l’avait prouvée à maintes reprises.

Les pneus de la voiture crissèrent lorsque je ralentis violement. J’étais en faute, ce qui ne m’empêcha de gesticuler en criant des choses « qui ne devraient pas sortir de la bouche d’une enfant si adorable comme toi » selon maman. La voiture que j’avais failli cogner s’arrêta et son conducteur descendit en claquant violement la portière. Je le plantais là dans une accélération digne d’une voiture de course. Le vent me fouettant le visage, j’éclatai d’un rire cristallin. Peu après, je m’arrêtai devant un chic café aux couleurs sombres.

Une fois installé, une tasse de mon thé préféré dans la main droite et le portable de Claire dans l’autre, cette dernière me parlait avec frénésie. Will, mon ami d’enfance sortait ENFIN avec Amy Orzi, la fille qu’il aimait depuis sa plus tendre enfance, une jolie asiatique aux yeux clairs, adoptée. Ce qui ne m’enchantais pas vraiment, vu que cette dernière avait tendance à briller aux yeux de tous, me ternissant un peu plus. Malgré tout, Amy avait maintenant une faille … Will.

Une idée germait. Je la laissai dans un coin de ma tête et demanda à Claire avec un grand sourire :

- Que dis-tu de ma nouvelle robe ?

Claire ouvrit de grands yeux et m’observa.

- Elle est jolie. Elle te va même à merveille, lança-t-elle sans grande conviction.

Je la regardai dans les yeux. Claire n’était pas normale. A vrai dire, je m’en foutais pas mal, mais je n’aimais pas qu’elle délaisse ainsi une robe aussi parfaite.

- Qu’y a-t-il, Claire ? dis-je d’un ton glacial.

- Rien, brefouilla-t-elle. Je suis juste … un peu fatiguée.

Voila. Cela va tout de même mieux.
Alors, à quand la suite ? xd

La suite est posté !

J'aime bien la suite

Mais la fille principal est le prototype de la peste egocentrique xD

Mais c'est bien parsque ça change des personnages principaux habituel

Informe-moi lorsque tu posteras la suite

Merci d'avance

Même si je ne lis pas ce genre d'histoire, j'ai adoré ton style d'écriture!!! Continue à poster! J'ai hate de connaitre la suite!